breadcrumbNavigation
Conférence
Lesung von und mit minu Weihnachts-Geschichten
Galeria Spada Basilea
St. Johanns-Vorstadt
106, 4056 Basel
Lecture de minu - histoires de Noël - à l'occasion de l'"Advänts-TRÄFFPUNGGT" spadART KUNST&KULTUR à la Galeria Spada Basilea près de la porte Saint-Jean. Nombre de places limité à 30 personnes !
Détails de l'évènement
Lecture de et avec minu Histoires de Noël
"En tant que Gémeaux avec une Balance à l'ascendant, j'étais une enfant joyeuse, qui aimait l'harmonie.
Mais ma famille n'était pas très harmonieuse : j'ai grandi au milieu de quatre femmes, ma mère, ma tante veuve, ma grand-mère et ma marraine. Mon père était le coq qui grattait les quatre femmes. Il ne laissait rien passer. C'est donc à l'école que j'ai vécu les moments les plus harmonieux. C'est ainsi que je suis devenu un bon élève, ce qui a suscité toutes sortes d'espoirs ("il sera enseignant" - ma mère) et ("il sera conseiller d'État au PS" - selon mon père), espoirs qui ont toutefois été déçus avant la maturité par mon premier amant et tuteur en chimie.
Les cours de rattrapage ont été bachotés dans un nouveau domaine. J'ai aimé en fonction des notes - et la maturité est tombée à l'eau. J'ai tout de même suivi la première école de journalisme de Suisse dans ce qui était alors le Basler National-Zeitung. Et j'ai tellement enthousiasmé les responsables qu'ils m'ont tout de suite embauché à la rédaction économique. IMAGINEZ-VOUS : -minu et chiffres. La catastrophe était prédestinée. Quand j'ai dû en plus rédiger les bourses et transformer les tendances ennuyeuses en "mini-minutes", je n'ai pas eu le temps de m'en occuper.
-minutisme joyeux en deux lignes - par exemple :
"Si La Roche tombe aussi dans le trou, achetons l'action !" ou "Le Bankverein n'est pas très bien (demain, ce sera mieux)".
LE LICENCIEMENT N'ÉTAIT PLUS QU'UNE QUESTION DE TEMPS.AGE.
J'ai planifié et publié la première colonne de ragots dans la presse suisse. C'était en 1969, dans le National-Zeitung. La colonne a eu un tel impact que la maison d'édition n'a pas pu se permettre de licencier la première commère d'Helvétie, pour laquelle Hans Geisen avait dessiné la légendaire image d'Elsa.
C'EST AINSI QUE JE SUIS RESTÉ DANS LE MONDE EN ÉCRIVANT.
Grâce aux ragots.
Jusqu'à aujourd'hui -minu - www.minubasel.ch
L'entrée pour cette lecture de -minu est de CHF 20.00
IMPORTANT : Réservez sous : [email protected]
Nombre de places limité à 30 personnes !
Cuisine proposée par l'association spadART KUNST&KULTUR,
Christoph Hartmann, Taverne Johann et équipe RITA Gastro
Note : Ce texte a été traduit par un logiciel de traduction automatique et non par un traducteur humain. Il peut contenir des erreurs de traduction.
"En tant que Gémeaux avec une Balance à l'ascendant, j'étais une enfant joyeuse, qui aimait l'harmonie.
Mais ma famille n'était pas très harmonieuse : j'ai grandi au milieu de quatre femmes, ma mère, ma tante veuve, ma grand-mère et ma marraine. Mon père était le coq qui grattait les quatre femmes. Il ne laissait rien passer. C'est donc à l'école que j'ai vécu les moments les plus harmonieux. C'est ainsi que je suis devenu un bon élève, ce qui a suscité toutes sortes d'espoirs ("il sera enseignant" - ma mère) et ("il sera conseiller d'État au PS" - selon mon père), espoirs qui ont toutefois été déçus avant la maturité par mon premier amant et tuteur en chimie.
Les cours de rattrapage ont été bachotés dans un nouveau domaine. J'ai aimé en fonction des notes - et la maturité est tombée à l'eau. J'ai tout de même suivi la première école de journalisme de Suisse dans ce qui était alors le Basler National-Zeitung. Et j'ai tellement enthousiasmé les responsables qu'ils m'ont tout de suite embauché à la rédaction économique. IMAGINEZ-VOUS : -minu et chiffres. La catastrophe était prédestinée. Quand j'ai dû en plus rédiger les bourses et transformer les tendances ennuyeuses en "mini-minutes", je n'ai pas eu le temps de m'en occuper.
-minutisme joyeux en deux lignes - par exemple :
"Si La Roche tombe aussi dans le trou, achetons l'action !" ou "Le Bankverein n'est pas très bien (demain, ce sera mieux)".
LE LICENCIEMENT N'ÉTAIT PLUS QU'UNE QUESTION DE TEMPS.AGE.
J'ai planifié et publié la première colonne de ragots dans la presse suisse. C'était en 1969, dans le National-Zeitung. La colonne a eu un tel impact que la maison d'édition n'a pas pu se permettre de licencier la première commère d'Helvétie, pour laquelle Hans Geisen avait dessiné la légendaire image d'Elsa.
C'EST AINSI QUE JE SUIS RESTÉ DANS LE MONDE EN ÉCRIVANT.
Grâce aux ragots.
Jusqu'à aujourd'hui -minu - www.minubasel.ch
L'entrée pour cette lecture de -minu est de CHF 20.00
IMPORTANT : Réservez sous : [email protected]
Nombre de places limité à 30 personnes !
Cuisine proposée par l'association spadART KUNST&KULTUR,
Christoph Hartmann, Taverne Johann et équipe RITA Gastro
Note : Ce texte a été traduit par un logiciel de traduction automatique et non par un traducteur humain. Il peut contenir des erreurs de traduction.
Plus d'informations
galeria-spada-basilea.ch/
Tous droits réservés